dimanche 15 novembre 2015

La femme vraiment fatale




Ceci c'est Shoshanna, elle est la protagoniste plus important du film “Inglourious Basterds” réalisé par Quentin Tarantino. Si vous n'avez vu ce film, je vais vous raconter comment se déroule, parce que c'est très important pour comprendre le personnage. Shoshanna c'est une jeune fille hebraïque, et vit en France pendant la seconde guerre mondiale. Sa famille a été massacrée quatre ans avant, et pour se cacher, elle a changée son nom et elle a commencée une nouvelle vie à Paris.
Shoshanna c'est un personnage très intéressant, qui est est beaucoup stéréotypé, mais de la même maniere, beaucoup moderne. Elle represent tous les valeurs de la femme française, et des hommes aussi! Mais bien sûr, elle a des traits que se répètent souvent dans tous les pellicules, les livres et les chanson dont l'auteur, qui n'est pas français, doit décrire une femme française.
Sourtout, elle fume. Dans les films, presque tous les femmes qui sont française fument. Evidemment c'est le symbole de la “femme fatale”, mais aussi un symbole d'indépendance et de modernité. Moderne c'est en outre son vêtement, qui n'est un stéréotype souvent cité, mais c'est la part plus réaliste de ce personnage. L'èmancipation feminin commencera dans les années suivantes, et Shoshanna c'est l'archétype des femmes qui veulent s'èmanciper. C'est un aspect très moderne, parce que de nos jours, les femmes vêtent plus ou moin comme les hommes. Selon le stéréotype, les femmes françaises aiment l'art. Nos personnage n'est pas different: elle lit un livre dans une bistrot ( stéréotype), et il aime beaucoup le cinéma en outre il gére un cinéma dans la ville. Je rétourne à un aspect important de Shoshanna, que on peut trouver dans les femmes modernes: elle s'intéresset à la politique.


Sans doute, tous les femmes françaises ne sont pas comme Shoshanna; le réalisateur devait créer une protagoniste forte et courageuse, mais aussi un symbole de la France moderne. Et aussi à mon avis, elle n'est pas la représentation de la femme. Pendant ma résidence en Irlande, j'ai connu des garçons et des filles françaises. La chose la plus intéressant, c'est qu'il n'y a pas beaucoup des differences entre une femme française, une femme italienne ou un femme anglaise. Tout le monde se conduit à la même manière et tout le monde utilise le même vêtement. Donc, pour moi, créer un image de la femme française, parce que n'existe pas de differences ni des stéréotypes.

Federico Grillo







P.S:Voilà parce que c'est une femme vraiment fatale








Compréhension vidéo - Quanto Usiamo Il Francese


Come ogni mattina, al dolce suono del carillon , Henriette si sveglia e accende l'abat jour, apre la finestra che dà sul parterre, si infila il bustier, le coulotte, i collants e si lega i capelli in uno chignon, con un foulard

Per non restare in deshabillé, sopra la lingerie indossa un tailleur beige, e in una nuvola di eau de toilette sceglie tra i bijoux una parure con collier, che le mette in risalto il décolleté.
Dopo aver dato il gourmet al suo bichon frisé, Henriette tira fuori dal garage la coupé-cabriolet, per recarsi alla boutique di una griffe a la page, quando en passant, uno strano déjà-vu- le fa imboccare un cul-de-sac.

Arrivata alla boutique, Henriette compra un tutu di tulle con paillettes e inserti in lamé, e fa colazione con dei beignets, un croissant e una crêpe, prima di recarsi a uno spettacolo di ballo burlesque e cabaret. Si prepara all'ouverture indossando il tutu, e di fronte al pubblico si esibisce in una révérence, un plié e un arabesque, mah mon dieu! Henriette non ha il physique du rôle per essere un'étoile, e la sua première diventa un exploit di gaffe.

Per riprendersi dalla bruciante défailance come soubrette, Henriette si concede un pranzo in un bistrot, dove mangia una baguette delle omelettes al gratin con champignons flambés e per dessert, un profiterole e della crème brûllée, accompagnata da una flûte di champagne, offerta da un sommelier col papillon.

Sfoggiando charme e nonchalance, Henriette si allontana senza pagare il conto con lo spirito da vera bohémienne. Si reca quindi allo chalet, dove con il suo savoir-faire esercita la professione di cocotte, e il concierge la accompagna in una suite, per un rendez-vous con un noto viveur con il toupet, amante di bondage, che le propone un ménage à trois con un clochard . Ma il povero clochard non può permettersi il cachet di Henriette, e si deve accontentare di toglierle una guêpière, prima di fare ritorno alla roulotte senza aver soddisfatto le proprie fantasie di voyeur

Dopo il tour de force con il viveur, Henriette porta i soldi nel caveau, e fa tappa in palestra per cyclette e tapis roulant . Indossa una camicia di chiffon con volant una longuette bourdeaux à pois con plissé e sceglie una pochette in pendant con la longuette, per prapararsi a un tête-à-tête con un gigolo, con cui ha un affaire

Lui, astuto tombeur de femmes, che lavora come croupier alla roulette del casino, d'emblée, le da forfait . Per superare l'ennesima débacle, Henriette, fa visita al vernissage di un atelier, dove ammira i quadri in trompe-l'oeil, dipinti en plein air, si concede una manicure, e indossato un gilet di lapin, si reca a una degustazione di nouvelle cuisine, dove riesce a entrare grazie a un passe-partout che si era procurata con un escamotage degno di una femme fatale da film noir. Scegliendo dal menu à la carte, ordina del camembert, del pâté de foie gras e la specialità dello chef, un trionfo di escargots su un letto di cordon bleu ricoperto da crème chantilly.

Henriette si abbuffa soddisfatta, senza preoccuparsi della silhouette, e giunta a casa trascorre la serata davanti alla tv gustandosi un frappé in una comoda salopette. Guarda una réclame, un drammatico reportage, un vecchio classico d'essai, sdraiata sulla moquette, si dedica al découpage, al bricolage e fa anche un collage, ritagliando brouchures e dépliant.


Terminato il film d'essai, indossa un négligé e con la sua mise molto chic e un po' osée spegne l'abat jour, senza perdere il bon ton . C'est la vie Henriette, cadere nei clichés per sfuggire alla routine .

Federico Grillo

dimanche 8 novembre 2015

Maison parfaite=Famille parfaite?

A' la fin de la seconde guerre mondiale, les États-Unis ont vécu “l'idéologie” du Rêve Américain-The American Dream- que a crée le stereotype de la famille parfaite dans le monde entier. Donc, c'est quoi la famille parfaite?

Selon le stereotype, c'est une famille composée par quatre personnes: père, mère, deux enfantes -un fils, le plus grand, et une fille, la plus petite- et, quelquefois, un chien. Tout le monde vit dans un petit et jolie maison, avec un jardin plein de fleurs. Selon le rêve américain, et donc selon le stereotype de la famille parfaite,  une belle maison reflet le bonheur et la richesse d'une famille et vice versa. Mais c'est une stereotype, et souvent il n'est pas la réalité. 

Plusiers fois, une maison ne reflet pas la richesse ou le bonheur d'une famille. Imaginez-vous un petit récit, que  traite d'une famille italienne, que vit dans un vieux apartement du XIX siécle. L'apartement se trouve auprès de Piazza Navona, et dans cet apartement vit aussi le plus célèbre styliste en Italie, reconnu dans le monde entier. Selon le stereotype, la famille qui vit là, serait très riche et il est possible que serait très contente aussi, avec sa belle maison dans la plus belle ville du monde. Mais cette famille a été détruite, parce que l'année passée la fille plus petite est décédée, après une grave maladie. En raison de ça, la mère est tombée dans la dépression, elle ne mange plus et elle est tombée malade aussi. Son mari, qui est un célèbre médecin, commence à la tromper, et malheureusement il perd son emploi, donc il ne peut plus payer la chere location. Et le fils a quitté son faculté et il est parti avec sa copinne. C'est claire que la maison peut être un “status quo”,mais c'est vrai aussi que le stereotype de la famille parfaite dans une maison parfaite est, souvent, faux.

dimanche 1 novembre 2015

Reflection sur "La Maison Sur Le Port"

La Maison Sur Le Port - http://lespowerrangers1.blogspot.it/2015/10/blog-post.html




"Dejà senti"

Je me pose devant le calculateur, j'ecoute ça chanson et tout de suite je pense: "J'ai dejà ecouté ça". En effet, il ressemble à une chanson que je connais très bien... Grace à ça, mais aussi parce que c'est très jolie et il y a un rythme agréable, je vais la analyser



"La Maison Sur Le Port" c'est le nom d'une petite taverne, où les personnes vont pour boire, chanter et où les jeunes hommes vont pour connaitre des jeunes filles. Je crois que tout le morceaux c'est une stereotype pour représenter les petites villages sur les côtes de la mer.
Un morceaux de "L'Illusioniste", où un illusioniste stupèfie
les habitants dans la taverne d'un petit village écossais
Toutes le activitées se deroulent dans cette taverne, et en effet c'est vrai; parce que dans les petites villes, maintenant aussi la taverne est le vrai centre de la cité. Mais il y a de la malinconie aussi, parce que la chanson parle d'un vieil homme, qui visite la Maison Sur Le Port, et il rappelle sa jeunesse et ses amours. C'est possible que la taverne il n'est plus ouvert, parce que les temps sont changée, et personne la visite plus. Cet aussi une stereotype qui est souvent present dans beaucop des chansons populaires et des films, comment le "Nuovo Cinema Paradiso",  qui traite exactement le même sujet de cette chanson. Donc c'est claire que le stereotype n'est pas toujours mauvais!  


Federico Grillo


vendredi 23 octobre 2015

Et voilà la chanson sur la maison!!


PAROLES
La maison de mes parents
c'est ma maison
la voiture de mes parents
c'est ma voiture
et les meubles de mes parents
sont mes meubles 
et la lampe ...
la lampe de mes parents c'est ma lampe


c'est mon repère, c'est mon repère, 

dehors le monde est incertain
Dans l'atmosphère moi je me perds
personne qui me maintien
C'est mon repère, c'est mon repère
Ici l'air est bien plus serein
Avec cette super paire,
dont j'suis super fièr



au milieux de mes aventures

c'est la chanson qui rassure 
et dans ma vie sans structure
il y a ces deux personnes sûres, sûres, sûres


j'avais la vie devant

je suis parti en avant
j'ai dis à sophie fous l'camp
moi je veux faire du boucan
là-bas en angleterre
il fallait faire des affaires
et j'ai essayé de plaire 
j'ai pris des bises, des bisous dans le cou
des gifles et des mauvais coups


mais tous les soirs vers sept heures

y'a cette chanson qui partait de mon coeur


La maison de mes parents

c'est ma maison
la famille de mes parents
c'est ma famille
Le NoËl de mes parents
c'est mon NoËl
Et le sapin, le sapin de mes parents c'est mon sapin


c'est mon repère

c'est mon répère
dehors le monde est incertain
dans l'atmosphére moi je me perds
personne qui me maintien
c'est mon repère
c'est mon repère
Ici l'air est bien plus serein
Avec cette super paire
dont j'suis super fiére



Au milieu de mes avantures

C'est la chanson qui rassure
Et dans ma vie sans structure
Il y a ces deux personnes sûres, sûres, sûres


La maison de mes parent

c'est ma maison
C'est mon repère
c'est mon repère
La voiture de mes parents
c'est ma voiture
Dans l'atmosphére
moi je me perds
Et les meubles de mes parents
sont mes meubles
C'est mon repère
et le tapis, le tapis de mes parents c'est mon tapis



Au milieu de mes aventures

c'est la chanson qui rassure
et dans ma vie sans structure
il y a ces deux personnes sûres, sûres, sûres
Il y a ces deux de personnes sûres, sûres, sûres






P.S: Il n'y a pas beaucoup des chansons sur la maison... Dans cette chanson il n'y a pas très paroles en ce qui concerne la maison,  mais traite de ça!